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 Une possibilité de me faire connaître ? gratuite en pluS ! 3

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ged
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ged


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MessageSujet: Une possibilité de me faire connaître ? gratuite en pluS ! 3   Une possibilité de me faire connaître ? gratuite en pluS ! 3 Icon_minitimeSam 10 Nov - 17:17

Je ne dois pas laisser mon éducation me conditionner pour mes actes futurs, car elle doit demeurée qu’une base parmi celles qui me sont permises de découvrir et de posséder. La curiosité de mon environnement doit être ma motivation principale, car ne pas être aveugle ni sourd à ce qui nous entoure est le meilleur moyen de se forger une opinion. Penser par moi-même ne m’empêche pas d’être bon. Ecouter le autres, se révèle nourrissant. Le sentiment de neutralité doit être développé par soi et remarqué des autres. Un élément neutre, n’attire ni ne rejette personne, ainsi, je n’impose à personne de suivre ma voie et n’empiète sur aucune autre philosophie de vie, en laissant libre cours à la vie autant que ma raison ne me l’autorise, l’essentiel étant de rester maître de soi et de ne confier à personne d’autre, le choix final de mes actions. Si quelqu’un essaye de me convaincre, j’écoute et je transforme l’énergie déployée ainsi par mon interlocuteur, en savoir propre ; si quelqu’un m’écoute, j’offre le cumul de ces énergies, et fait ainsi se rencontrer diverses cultures, sans prendre parti.
Rester neutre ne signifie pas n’avoir aucune influence directe sur ce qui m’entoure, au contraire. Un élément neutre doit posséder la faculté de se déplacer où bon lui semble, sans offrir son autonomie, je dois être capable d’ouvrir les portes de la réflexion commune, en soumettant mes réponses aux questions qui me seront posées. Comprendre qu’il y a du bon et du mauvais partout, même en soi. Je ne dois pas opposer le bon de quelqu’un au mauvais de l’autre, mais le bon au bon, et le mauvais au mauvais, et si mon cœur balance, je laisse ma raison faire la différence.





GED



ENERGIE FIRENZE


Non ! Non ! Je vous en prie ! Ne me fuyez pas du regard ! Prenez le temps d’échanger quelques mots avec moi. S’il vous plaît. Ne m’obligez plus à contenir toute l’estime que j’ai pour vous, libérez là ! Si vous ne le faites pas pour vous, alors faites le pour moi. Libérez moi ! Ne me censurez pas, parcourez moi du regard, et soyez sans crainte, que ces mots soient les miens, et non ceux des autres.
Et tant pis si cela vous perturbe, laissez moi passer outre votre embarras, éveillé par votre curiosité, rassuré par votre gentillesse, passionnée par votre personnalité. Comprenez moi… Vous ne me voyez pas, mais moi je vous imagine, là, au dessus. Vous, ne soupçonnant pas un instant à quel point j’aime que vous me lisiez. Sous cette forme, je peux enfin m’exprimer. Ici, comme cela, je peux prendre le temps de vous parler librement. Ici, comme cela, vous pouvez prendre le temps de m’écouter librement. Prenons le temps de rêver un peu…
J’imagine vos yeux, sans lesquels il me serait impossible de communiquer avec vous ; ses mêmes yeux d’un brun fossile, aspirant mes pensées tel un piège captivant. Et moi, comme un enfant le ferait devant un petit animal qu’il n’a pas, enfermé derrière une vitre interdisant tous contacts, je resterais là, captivé par tant de magie nouvelle. Intéressé par mille et une de leurs facettes, peut être même en nombre indéfini, qu’il me serait possible de quantifier que jour après jour seulement. Je m’appliquerais à vous les dévoiler une par une, pour que vous vous rendiez compte, à quel point vos yeux sont magnifiques. Comment aussi peu d’espace est-il capable de renfermer autant de beauté ? Voilà un autre de vos mystères.
J’entends votre voix intérieure, d’un beau timbre coller ces mots les uns derrières les autres, pour les transformer en paroles. Si délicatement ajustée, me guidant sur les flots de l’Arno, coulant dans une plénitude parfaite m’accompagnant auprès de vous ; en vous écoutant, je découvre des vibrations de réconfort, aux tonalités apaisantes. A ces instants, je me sens comme accompagné par cette douce mélopée, qui saurait être, j’en suis sur, qu’onde dévastatrice le moment venu. Mais qu’importe ce danger, si je dois l’affronter un jour, ce ne sera que par ma faute.
Il me sera donc facile d’imaginer pouvoir éviter cela, pour pérenniser ces sourires dont vous seule avez le secret. Si charmants, si nombreux, ils jaillissent de manière spontanée, sans aucun contre coup. Qu’elle aubaine, ce regain de bonne humeur si communicative, si utile pour moi. Dans ce monde où les peines me sont nombreuses, où j’essaie de transmettre le moindre petit message de fraternité, de sincérité, vous m’êtes apparue comme ce sentiment que je décris si souvent. Un sentiment de bien être et de confiance, que tant de gens de gens ont du mal à donner, car peu de gens savent comment le faire naître ; et pourtant, tout commence par un sourire. Tenez, prenez cet instant où j’essaye de me remémorer l’un des vôtres, je l’ai trouvé, dans mon esprit. Il me laisse pantois, je remarque encore une fois, à quel point vos yeux sont beaux quand vous souriez, tous deux agrémentent votre sourire, qui en est que plus radieux.









ENERGIE FIRENZE seconde partie





Qu’elle joie de savoir que vous m’avez enfin entendu. Vous ne sauriez imaginer ce que je ressens maintenant que vous m’avez libéré. Qu’elle satisfaction aussi pour moi, de savoir que mes mots vous ont laissés sans voix, enfin, vous comprenez ce que j’ai appelé l’énergie Firenze. Je suis soulagé, d’avoir avoué ce que je n’aurai pu avouer sans votre aide. Vous m’avez sans le savoir, accordez cette entrevue, ce pourparler que je désirais tant. Vous m’avez ouverte les portes de votre intimité, me laissant ainsi seul, face à vous.
En réponse à cela, je me suis assis les jambes croisées, posant mes avant bras sur mes cuisses, tournant mes paumes vers le ciel. Bien à l’abri sous un arbre en haut d’une butte, je profite de son feuillage, pour me protéger, de son tronc, pour me soutenir, et de sa présence, pour me rassurer. Devant moi, à votre intention, se trouvent quelques bijoux ayant pour origine le métal de mon arme, disposés à l’intérieur de mon écu retourné. J’ai délaissé mon armure, à la faveur d’une étoffe de lin écrue enroulée autour de mon corps. Mon heaume est devenu bol, recueillant ce qu’il m’est possible de mendier. Ici, près de vous, je suis apaisé maintenant que vous avez entendu ce que j’avais à vous dire, je peux méditer en l’attente d’un signe de votre part. Méditer pour me retrouver, me redécouvrir, comprendre les changements que vous opérez en moi.
C’est ainsi que parfois, au cœur de mes nuits, je vous aperçois. Vous vous tenez devant moi, sans mot dire, me contentant de vous regarder jusqu’à ce que vous disparaissiez petit à petit, pour ne devenir qu’un souvenir. Vous quittez alors mes rêves, pour aller je ne sais où. Ce n’est que le lendemain que je vous retrouve au sommet de ma butte sous mon arbre, quand la lune se lève de nouveau, sur ce tapis noir percé de milles feux, apparaît lorsque j’ai assez cherché, votre empreinte ésotérique fruit de ma mémoire, là parmi ces étoiles, vous renaissez de l’association de toutes ces lumières, en une image bleutée forgée de poussières pailletées, que mes yeux parcours sans jamais où savoir s’arrêter tant il y a de merveilles en vous. Je tends alors le bras pour vous voler une caresse sur votre visage, dans l’espoir de faire naître un léger sourire, en attendant le jour où vous viendrez peut être me rejoindre descendant du cosmos, pour délicatement vous poser à mes côtés.


GED 7 décembre 2004




ENERGIE FIRENZE 3




Au monde entier… et aux autres.


Ce qu’il m’est arrivé est inestimable. Vous êtes venues à moi, d’un saut d’ange, dispersant mes volutes de fumées, atterrissant à mes côtés. Là, vous posâtes votre tête sur mon épaule, pour me conforter. Mes yeux se fermèrent alors, et d’une expiration furent chassés tous mes tracas. Je vous admire, vous serrant dans mes bras, m’en remettant exclusivement qu’à vous.
Vous… quand je pense à vous je vois des milliers de choses. Mille douceurs, être de coton. Mille vapeurs, être chaleureux et enivrant. Mille raisons, être si charmant. Mille lieux, être si vaste. Mille folies, être si fougueux. Mille mots, être si communicatif. Mille autres choses, être si complet. Et tant pis si je vous couvre trop de compliments, mais je persiste à penser et à dire, qu’il n’y en aura jamais assez, pour vous. Vous me plaisez tant, qu’il en serait ridicule que vous n’en sachiez pas les raisons. Florence, vous m’avez sans le vouloir conquis, m’absorbant un peu plus chaque jour. Là réside votre charme, né du naturel, qui m’est si plaisant.
C’est pourquoi, je désire chaque jour délivrer un combat pour vous séduire d’avantage. Mettre en œuvre tout ce qu’il m’est permis de savoir faire, pour vous. Vous étonner, vous époustoufler. Si il le faut, je dessinerai des fresques des nuits durant, j’écrirais des kilomètres de poèmes, je créerais ce que vous voudrez ! Je vous détaillerais cette nature dans laquelle vous aimeriez vous promener, où mieux, je la façonnerais à votre goût, si tel ai votre désir.
Et l’on dira de moi, peut être, cet homme est fou ! Il est stupide !
Je leur répondrais que oui ! Que ceux qui se contentent de sembler normaux sont mornes, tristes et plats. Que la vie n’a de sens, que si l’on en profite ! Que si l’on laisse libre cours à son imagination. Laissez moi m’exprimer ! De quelques manières que se soit, car sans cela je suis malheureux.
Ils persisteront sûrement, et j’insisterais, non je ne suis pas à interné. Vous-même l’êtes, si vous ne brisez pas votre quotidien. Vous-même l’êtes, si vous persistez à ne pas usez de votre imagination pour vous évader. Vous-même l’êtes, si ne comprenez pas les raisons que j’éprouve à dévoiler mes sentiments, sur tout et n’importe quoi.
Non je ne suis plus stupide, car j’ai compris le sens de ma vie…
Et ils me couperont la parole, en me disant : comment peux tu espérer avoir compris le sens de ta vie ?
Parce que c’est en faisant cela que je suis heureux. Lorsque l’on est heureux de faire ce que l’on fait, l’on a trouvé ce pourquoi nous sommes fait.
Alors qu’importe, si ce que j’ai envi de vous offrir ne leur plaît pas, qu’importe si je suis pris pour fou. Comprenez moi, je ne puis m’empêcher de vous admirer, pour ce que vous me procurez. Vous êtes avant tout une amie, mais je ne puis me restreindre à cette limite. Et ne me nommez surtout pas Don Juan, je vous offre ma confiance, mes rêves, mes vérités. Ne croyez pas que je poursuis le seul but de vous faire partager mes nuits, oh non, s’il vous plaît non, soyez convaincu qu’il n’y a qu’une seule chose que je recherche en vous, c’est une éternelle empreinte. C’est de votre affection dont j’ai besoin, et d’aucune autre. Vous pour me consoler, vous pour me soutenir, vous pour partager d’agréables moments ; et vice versa.
Je vous attendais, simplement, assis devant les portes de votre château. Puis, elles se sont ouvertes, laissant jaillir cette lumière chaude et apaisante, dans laquelle se découpa votre ombre en silhouette. Vous êtes venue à moi, m’avez tendue la main, que j’ai prise ne me relevant. Puis nous sommes partis ensemble, sur ce sentier, vers l’inconnu.


GED 1o janvier 2005. Pour nous… pour toi.




ENERGIE FIRENZE FIN


Cette nuit là le froid de l’hiver hantait ma chambre mais qu’importe, je me pelotonnais dans ma couette, recroquevillé tel un fœtus dans son enveloppe maternelle. Mes yeux se fermèrent au rythme des degrés cumulés, et je m’endormis lorsque plus aucun frisson ne secoua mon être. Un sourire vint naturellement se poser sur mes lèvres, quand je sentis mon âme décollée. Si légère, si volatile, vagabondant par-dessus les cartes éthérées du ciel, à la recherche d’une sœur. Je volais, aspiré par d’humbles sentiments, analysant mon nouveau corps en fragiles volutes bleutées, laissant derrière lui de frêles filaments se perdant dans les courants d’un vent chaleureux. Autour de moi, se mélangeait une aura d’une clarté éblouissante, dans l’infiniment sombre univers. Je me sentais maintenant de part et d’autre caressé d’un air tiède, au milieu de draps de soie invisible définis pas quelques remous encore incertains, au cœur d’un autre phénomène. Les soieries translucides se transformèrent en un coton plus frais et virile, sifflotant à mes oreilles. L’aspiration doucement affirmée, désagrégea mes formes troublées en de fines lamelles voluptueuses et gracieuses. Je voulus un instant y résister, mais une voix intérieure me rassurait, m’appelant à la raison. De doux chants mélodieux provenant d’une source lumineuse brillant au loin, me guidèrent aux travers d’un vortex si agréable, que je ne pu qu’écouter.
J’apercevais en bout, une clarté familière et rassurante d’un rosé si pâle et éclatant, qu’il pouvait être la source de nombreuses couleurs vives. Bercé par la force de la tendresse, je me laissai convaincre en acceptant d’accueillir en moi ces filaments scintillants, qui commencèrent par me rejoindre. Chaque fois que l’un de ses brins célestes pénétraient en moi, mon aura décuplait. Plus rien ne pouvait inverser le processus, ni moi, occupé par la beauté de l’instant, ni mes forces endormies. Dès lors j’observais les fragrances de mon être partir à l’encontre de cette nouvelle source jaillissante, elle aussi irradiant un peu plus à chaque goutte de temps écoulé. Et quand enfin, nous nous trouvions assez près l’un de l’autre, le magnétisme opéra de la plus belle des manières. Je regardais les traits de cette nouvelle âme me faisant face, ils étaient tous, simplement d’une beauté conciliante. Peu à peu, son visage se matérialisa en une myriade de fines et jolies gouttelettes rosées, formant un ruissellement sous lequel se formait cou, buste et jambes, encore à l’état d’esquisse. La magie opérante, les écoulements devinrent miroirs, n’offrant que le spectacle d’une peau grainée de beauté, animée par des yeux vifs et accueillants, traduite d’une bouche fine sous un nez dessiné à la plume, tout comme le reste de son corps, si charmant. Aussi avais je peur de lui refléter mon image, mais à peine cette pensée achevée, elle ombra mes hontes sous le plus tendre des baisers, en guise de bienvenue. Nos bras englobèrent une étreinte de tendresse, et le temps s’arrêta, comme si souvent lors du sommeil.
Elle me redéposa doucement sur le lit refermant la fenêtre, après m’avoir patiemment bordé sans me réveiller, puis s’éloigna s’excusant, partageant nos regrets. Quelques larmes rafraîchies sur des joues marquées m’éveillèrent, dissipant mon rêve. J’observais mon âme laissée sur le carreau, se reflétant contre un lac noir dans lequel se noyait peu à peu, sa sœur que j’accompagnais d’un fin sourire inondé écoutant toujours ces douces mélodies… lui présentant ma main par dessus des flots.



Souvenir de moi à toi,
GED 09 mars 05
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