Nobles amis bonjour.
Bien, je dois avouer que cette rubrique tombe à pique..
Voilà qui m'offre l'occasion de me confronter à des regards et jugements de gens qui me sont inconus ou presque.
Comprenez par cela, que je voudrais profier de cette rubrique pour montrer un peu ce que je fais (plutot ce que j'arrive à vous montrer via le web), et ce, à des gens vraiment impartiaux. ALors n'hésitez pas à me donner quelconque avis, si négatif soit il il m'aidera quand même beaucoup. Merci au moins à ceux qui m'ont lu, et merci au plus, à ceux qui me donneront un avis.
TIMIDITE EFFROYABLELa salsa semblait occuper la soirée, tenant tête au silence,
Ayant prit coutume de le torturer ; telle était sa timidité,
Celle dont tout le monde parle, lui coupant sans cesse la parole,
Et encore une fois, ignorante du défi qu’elle lui lançait,
Attendant une nouvelle confrontation, elle le dévisageait, sans se limiter,
Mais il se trouvait là, s’obligeant à traduire le moindre symbole,
Pour ne pas se lancer à cœur perdu, chaque détail était apprécié.
Ce soir, il prit l’avantage ; gênée, elle découvrait un nouveau regard,
Elle ne le reconnaissait plus, fougueux, vif, perçant et intimidant,
Prise au dépourvue, elle devait affronter un être tristement passionné,
Faisant appel à la magie de l’amour, il se confia au hasard,
Le guidant au milieu de ces dizaines de tentations, iris et pupilles se promenant.
Elles le conduisirent , au travers de ces courbes et volumes si bien mariées,
Pour enfin se retrouver, dans l’insistance d’un regard, coloré d’un très joli brun.
Déjà, elle lui imposait la fuite, filant à travers toutes ces merveilles,
Que constituait ce corps, tapissé d’une peau ensoleillée.
Son ennemi ne manquait pas de lui rappeler que son espoir était vain,
Quelle jolie frustration, que d’abandonner cet être sans pareil,
Il accepta ce nouveau coup bas, restant là un moment, se tenant prêt à payer.
Face à ces yeux innocents , ou peut être pas, il ne voulut qu’une chose, les rejoindre.
Cette suggestion, si dangereuse, un autre piège ? La connexion semblait facile,
Il se releva, envoyant un nouveau regard interdit et se croisèrent non sans surprise,
La peur agissait tel une drogue, il se délecta de ces milliers de sensations à dépeindre,
Mais que se passe- t-il ? nulle fuite n’est envisageable, pas même un battement de cil,
Rassemblant tout son courage, rien, ce coup ci, n’aurait pu lui faire lâcher prise,
Il venait de la surprendre, là, il est bien, il gravit les sommets de ce temple,
Il commençait à peine à s’en rendre conte, quand soudain, son vis à vis s’enfuit ,
Explorant ce nouveau fidèle, il le sent, sur son torse, ses épaules, son cou,
Il voulut ouvrir ses bras, pour accueillir cette divinité, mais elle le contemple,
Paralysé, tombant sous le charme de ces yeux, il les suit,
Tels une escorte, attendre leur possible verdict le rend fou,
Il attend, rongé par les regrets, espérant une phrase de réconfort,
Encore une fois, elle le force à abaisser son regard, il attend,
Agissant contre toutes volontés, il relève enfin les yeux,
Son manque de confiance est aussitôt amoindri par un magnifique sourire, faisant alors
Office d’allié inespéré, il lui en adresse un, en guise de remerciement.
Quel plaisir de les retrouver, intacts et sincères, tous quatre sont heureux,
C’est le moment choisi, une nouvelle fois, elle agit sans laisser mot,
Ses mains se crispent, lui rappelant qu’il n’est pas si facile de la complimenter,
Maudit soit-elle, de tout son être, essayant encore de repousser sa foi,
Il guerroie sans pardon , luttant afin de défaire ce garrot,
Lui coupant le souffle, il ne peut qu’avouer être perturbé,
Mais là réside la force d’un allié, apaisé par cette nouvelle voix,
Devenue inespérée, si souvent appuyée d’éclats de rires.
Je l’entend alors enrager, se repliant, si profondément, brisant le lien,
Elle admire, je le sais, cette aide imprévue l’espace d’un instant,
Se contraignant finalement, à cesser de me nuire.
Le chemin se dessine, il le remarque et s’y engouffre, toujours incertain,
Mais, bercé par la musique, il oublie, accompagné par ce chant,
Il vogue sur le flot musical, découvrant un nouveau monde, se laissant porter,
Par cette salsa corporelle, devenue chamade omniprésente,
Créant ainsi, à chaque coup de métronome, une ambiance,
Se nourrissant de ces rires, de toutes ces paroles passant à sa portée,
Pris par la gamme, ses yeux se ferment, s’isolant, il s’absente,
Laissant chaque corde sèchement pincée lui faire violence,
La contre-basse vibrait, les percussions l’accompagnaient,
Ecoutant depuis son monde, les cuivres complétant cette voix latine,
L’entraînant dans le rythme de la partition, il laisse enfin place à son imagination,
Ne faisant plus qu’un avec cette confiance, si difficile à gagner,
Il avait vaincu ce qu’il redoutait tant, en tout cas il en fit mine.
D’une main encore contusionnée par le poids de son épée, il lança une invitation,
De suite recueillie par un visage ravi des plus chaleureux
L’éloignement perdit toute signification, en quelques pas,
Rassurée, elle se laissait conduire, entrant dans la danse,
Ressentant maintenant, la salsa émanant de son cavalier des plus nerveux,
Se laissant peu à peu emprisonner dans l’étreinte de ses bras,
Tous deux employant, et comprenant ce même langage intense,
La sensualité des mains flirtant au rythme des notes,
Elle ne regardait que lui, il ne regardait qu’elle,
Tous deux se sentant soutenus, tendrement guidés,
Reposant sa tête sur son épaule, devenant volontiers son hôte,
Il l’accueillait, retrouvant peu à peu son calme naturel,
Elle profitait de cette danse si méritée, à laquelle elle fût conviée,
Silencieux, imaginant l’un l’autre leurs prochaines paroles,
Leur permettant ensuite de décrire ce moment si délicieux,
Ils s’immobilisèrent au milieu des autres couples, réclamant le même baiser,
Comme pour confirmer ce rêve, car chacun se sentait quitter le sol,
Il laissa s’écouler une larme, montrant en tous points qu’il est heureux,
Qu’elle estompa du bout des lèvres, pour une nouvelle fois l’apaiser,
Et profitant de sa lancée, elle lui offrit un tendre baiser salin,
Il lui caressa le visage, sous le charme, en lui proposant la réciprocité,
Serrant ses mains entre les siennes, il voulait lui expliquer, lui faire comprendre,
Mais, sorti de son rêve, il lui fallait laisser la place au matin,
Et admettre qu’elle ne se contentait plus de la réalité.
GED
Moi petit TITI
Ah mon dieu qu’c’est dur, d’n’avoir que vingt ans !
D’être obliger d’subir le faible poids de ses années.
J’me demande quel âge doit avoir l’prince charmant,
Suis qui tombe les princesses pour qui j’me suis démené.
Mais celle là mon gars, celle là est pour moi,
Faudra bien qu’tu comprennes qu’t’es juste un Don Juan,
Que moi j’propose bien plus qu’des nuits sous un toit,
Tu m’diras alors que j’suis qu’un pauv type sans argent,
Mais celle là j’l’a ressens en moi, dispersant mes pensées,
Fidèle à elle même, m’torturant innocemment,
Sa p’tite personne, son âme, fruits de mes désirs insensés,
Mûries en haut de la plus haute branche évidemment…
Contrairement à toi, j’lui ouvre mes rêves, offrant ma confiance.
Sous mes airs immatures, j’ne saurais qu’être moi même,
Ineffables sensations, inertes en son absence,
Tu n’sais pas qu’il n’y a qu’elle, pour vivre au delà d’ma bohême,
A qui j’avoue ne pas être de nature à blesser,
Loin de ta virilité dont j’me moque tristement,
Que j’ai pour juste cause bien des fois délaissée
Faisant place à de nombreux autres sentiments.
Mais tu n’sais pas qu’il n’y a qu’elle pour remplacer mes transes,
Ce n’est que grâce à son amour, que j’atteindrais mais extrêmes.
Elle que chaque jour je supplie d’en oublier les distances,
Pour enfin qu’elle comprenne le malaise de sui qui l’aime !
GED
MAL D’AMOUR Mon regard est vide, sans reflet ni mouvement, il ne recherche plus personne à croiser, reste incliné de côté, perdu entre deux mondes. Déconnecté du réseau par nostalgie, aveuglé par les milliers de souvenirs transmis dans mon esprit en boucle, demeurant ainsi depuis l’instant où tout a déraillé. Mes paupières ne battent plus, chaque pensée au bonheur jadis présent me consume d’avantage, attirant en contre bas toujours plus de larmes, finissant de brouiller mes réalités. J’en ai oublié tous supports et ne sais ni sur quoi, ni où je me suis posé. Tout mon être est embourbé sous des tonnes de questions sans réponse, capturé dans les sucs de ma tristesse. La corrosion est telle que mon cœur en est atteint, s’insinuant partout, je me bas pour qu’elle officie en silence, mais ne peux que me résoudre sous la honte, à porter devant tes yeux mes douleurs infinies ; rongé par cette acidité qu’est le manque, cette satanée morosité qui sans cesse me traque. Mais le temps venant, j’ai compris quelque chose. Parfois l’on se perd soi même. L’on a envie de rien d’autre que de se retrouver, et la meilleure des choses à faire en tant qu’amant et confident d’une personne dans ce cas, reste de la comprendre et d’en accepter les conséquences pour ainsi lui permettre de se reconstruire en la libérant. Il me faut donc accepter de te perdre pour que tu réorganises ton intérieur, restant à tes côtés comme ami pour ne pas t’abandonner. Et si un jour nous devons nous retrouver, se seras naturellement et uniquement lorsque tu auras dissipé le brouillard autour de toi. Je t’embrasse très fort, d’ici là ou pour toujours, je resterais ami avec une femme bien qui fait attention à moi, et suis désolé de ne pas avoir compris avant. GED. 21.03.05 REMONTE PENTEFleur des jardins d’un charisme au parfum d’illusion
Louanges des dieux, résultat de complexes intentions
Originalité, d’un précipité de délicatesses pigmentées
Référence végétale, où la beauté règne sans équité
Enviée et jalousée au delà des savoirs botaniques
Noire à si tromper, peaux aux couleurs tanniques
Charmante amie et infirmière adossée aux vignes
Evénement sensoriel des tables les plus dignes
Emulsion d’eau ensoleillée, et de sèves élaborées
Création d’un subtil mélange, esthétique et arboré
Naissance d’une l’éclosion printanière à maturité estivale
Emerveillement gastronome doux et acidulé sans rival
Rondeurs rebondies sous un feu au noyau magmatique
Ornementation colorée des cuisiniers les plus fanatiques
L
F
MOI JE DIS QUE :
Le cul est la plus redoutable des subtilités.
[size=1Il illusionne la plus rentable des intitulés [/size]
Touche et retourne les hormones par légion,
Manipule la foule et possède ses régions,
Parle un langage fleuri, banni de la société,
Qui nous dicte comment jouir d’originalité.
La goutte d’eau
Je suis perdu seul à la dérive, sur un îlot de civilisation,
M’échouant de temps en temps un sol de consommation,
Croupissant là, et jaillissant là, dans un jardin de foire,
Aux milles vertus, aux milles pamphlets regroupés en histoires,
Sur un banc improvisé, instable de par sa nature incertaine,
Je réfléchis, mais très vite, c’est le dégoût, et non la haine,
Les gimmicks des masses sombres, les bouches à nourrir parquées ici et là.
Toutes les blessures entre deux cicatrices, je suis las,
De tous les passants que j’observe, courrant après l’embauche,
Leur tête balançant de haut en bas, de droite à gauche,
Ils marchent sans prendre le temps de m’avertir, de quoi que se soit.
Je m’imagine alors au milieu de ce courant, entouré de « moi »,
De gens apparaissent à des allures accélérées,
Devenant souffle, rependant des messages erronés.
Me berçant au creux d’une vague, m’entraînant au de là des mes volontés,
Grossissant, capturant de nombreux autres ruisseaux peinés, des flaques éhontées,
des nappes oubliées, de rivières contenues, franchissant tous les barrages,
Semblant ce diriger vers un bruit connu de tous, mêlé aux images,
Décrites par notre mer, comme magnifique, un choix judicieux,
Je regarde alors le soleil, celui là même, devant qui l’on baisse les yeux,
La chute devenait inévitable, quand , aidé par ce vent,
Je me séparai peu à peu des flots, tel un cerf-volant,
ne subissant plus aucunes pressions, je l’évitais, volé à cet apesanteur
retrouvant ma source, rejoignant d’une envolée, ces quelques vapeurs,
Jonchée en haut de mes sommets, aux creux de mes collines,
Flirtant avec la lumière de lisières ombellifères ; si câline,
Chatoyé par de doux foulards soyeux, ne percevant plus la finesse du point
Je ne suis plus seul, assis là, sur mon banc, M’entraînant vers d’autres horizons,
d’autres m’ont rejoint.
GED
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Sujet: Une possibilité de me faire connaître ? gratuite en pluS !! 
Sam 10 Nov - 16:45
